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VIDEO. XV de France. Bernard Le Roux : « Chanter la Marseillaise, c'est essentiel à mes yeux »

Thierry Dusautoir blessé, le rôle du découpeur en chef devrait logiquement revenir à Bernard Le Roux. Le Racingman est impatient de découper de l'Anglais.

Thibault Perrin 01/02/2014 à 11h00
XV de France. Bernard Le Roux impatient avant son premier Crunch.
XV de France. Bernard Le Roux impatient avant son premier Crunch.
Cette fois-ci, Bernard Le Roux ne jouera pas avec son idole. Thierry Dusautoir est blessé, et le rôle du découpeur en chef devrait logiquement revenir au Racingman. Titulaire face à l'Angleterre, le sud-africain désormais international français va pouvoir s'en donner à joie pour son premier Crunch. « Quand j'étais petit, ma mère n'avait pas peur pour moi, mais pour ceux qui étaient en face, car je plaquais très fort. Elle me demandait de faire attention à eux tant je mettais de force et de volonté dans mon geste », confie celui que ses amis appellent Terminator via Sport24. Si le troisième ligne avait déjà eu un avant-goût des matchs internationaux l'été dernier face aux All Blacks puis à l'automne contre le Tonga, il n'a encore jamais participé à une rencontre du 6 nations. Un tournoi unique qu'il va débuter par l'un des plus féroces affrontements du rugby mondial. « Je suis très, très content de disputer ce match. Je sais qu'entre Français et Anglais, il y a toujours une grande ambiance. Je comprends car entre Sud-Africains et Anglais, c'est pareil. »

Si d'aventure le XV de France venait à s'imposer et le Roux à faire un gros match en défense, mais également au sein de l'alignement, où PSA attend qu'il pose de gros problèmes aux Anglais, il se pourrait bien que ce ne soit pas le dernier Crunch de sa carrière. « Mon but, c'est de durer, de rester le plus longtemps possible en équipe de France. » Un rêve qui a débuté l'an passé au moment où Philippe Saint-André a fait appel à lui pour la tournée d'été en Nouvelle-Zélande. Considéré comme Jiff après trois années passées au centre de formation du Racing métro, le flanker peut logiquement prétendre à représenter sa nouvelle patrie aussi longtemps qu'il sera au niveau. « C'est la France qui m'a permis de m'accomplir, de devenir rugbyman professionnel. » Sud-Africain de naissance mais Français dans le cœur, Le Roux pourrait nous refaire une Nyanga au moment des hymnes. « Chanter la Marseillaise, c'est essentiel à mes yeux ».


Crédit vidéo : RugbyTV
Le Roi Dodo
Le Roi Dodo
@Harry : et pour cause qu'ils ne chantent pas durant leur hymne les espagnols... la marcha real ne comporte pas de paroles !
agenox
agenox
Moi ce que j'espère c'est qu 'on ait envie de la chanter aprés le coup de sifflet final.
mche
mche
Pourvu qu'il nous fasse oublier (un peu) l'absence de Thierry Dussautoir!
Grisou
Grisou
Belle preuve en effet que la terre entière déteste les Anglais ! Et concernant les hymnes, moi de toutes facons, ca fait des années que je milite pour que chaque joueur ait un micro cravate pour qu'on en profite pleinement !!!
Linkounay
Linkounay
Qu'il chante ou pas de toute façon je me fais pas de soucis : tout le monde déteste les Anglais.
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