Certes, le troisième ligne centre n'a pas l'élégance naturelle ou la palette technique d'un Kieran Read ou d'un Sergio Parisse. Mais dans son rôle de bulldozer, il n'y a pas tellement meilleur dans le monde. Il l'a encore prouvé hier contre l'Italie (32-10, voir le résumé du match) en faisant constamment avancer son équipe : 73 mètres parcourus, 3 défenseurs battus, un franchissement, une passe après-contact.
Une image marquante ? Cette PICACHARGE de l'espace qui a envoyé voler Martin Castrogiovanni dans les airs aux alentours de la 25ème minute... une action qui fait mal. Surtout à l'ego.