Interrogé sur son coming out, il raconte, touchant :
Je redoutais des réactions violentes de mes gars, qu'ils soient très déçus. Mais ils n'en ont pas fait toute une affaire. Ils ont rendu la chose très normale. On a juste parlé de ça comme on aurait parlé de n'importe quelle autre chose. On est allés boire une pinte au pub, ils m'ont tapé sur l'épaule. Ils m'ont dit : « t'inquiète pas mon pote, tout est comme avant.
Début de polémique
S'il a semblé épanoui durant l'interview, cette dernière a fait réagir via les réseaux sociaux, la faute à une question jugée limite par les internautes
.Alors, la polémique a-t-elle lieu d'exister ? Sans doute pas, même s'il paraît difficile d'entendre parler un jour de « pulsions hétérosexuelles ». Pourtant, ceux qui vivent ce genre de remarques tous les jours peuvent légitimement trouver ça exaspérant. Des tweets à l'encontre des journalistes ont été publiés et l'un d'eux a été obligé de s'excuser via puremedias, reconnaissant qu'il emploierait un autre mot que pulsion, « si c'était à refaire ».
L'interviewer de G. Thomas sur @TF1 parvient parfaitement à dominer ses pulsions d'intelligence. #honte #septahuit https://t.co/20cC9ZVTjy
— Denis Quinqueton (@denisquinqueton) 6 Septembre 2015Quand je pense à toutes ces #pulsionshomosexuelles autour de nous, chaque jour à chaque instant... Heureusement que le rugby existe...
— Olivier Gabet (@olivier_gabet) 6 Septembre 2015Gareth Thomas. Avant la question/Après la question #PulsionsHomosexuelles #septahuit pic.twitter.com/lS1nHVuOGi
— Larbi Tranculay (@Larbi_Tranculay) 6 Septembre 2015Je ne sors plus de chez moi depuis 7 ans. J'ai peur que mes #pulsionshomosexuelles me fassent faire n'importe quoi. #septahuit
— SMH.JC (@SteMauHub) 6 Septembre 2015Putain, le chauffeur du bus m'a dit bonjour en souriant. J'espère qu'il saura gérer ses pulsions homosexuelles. T'en dis quoi, @7a8?
— zenikko (@ZeNikko) 7 Septembre 2015 Si vous voulez retrouver l'interview de Thomas en intégralité, c'est par ici que ça se passe.
Crédit vidéo : Wat