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RESUME VIDEO. Un match époustouflant et haletant couronne le Stade Toulousain aux dépens du Leinster

Le Stade Toulousain a écrit une nouvelle page de son histoire en remportant une sixième Champions Cup. Victoire 31-22 face au Leinster dans une finale intense au Tottenham Hotspur Stadium.

Thibault Perrin 25/05/2024 à 19h10
Avec une victoire 31-22 contre Leinster, le Stade Toulousain s'adjuge une sixième Champions Cup.  Crédit image : Screenshot BeinSport
Avec une victoire 31-22 contre Leinster, le Stade Toulousain s'adjuge une sixième Champions Cup. Crédit image : Screenshot BeinSport

Ce samedi, le Stade Toulousain a une fois de plus inscrit son nom dans l'histoire du rugby européen en remportant une sixième couronne en Champions Cup. Opposés au Leinster Rugby, les Rouge et Noir se sont imposés 31-22 sur la pelouse du Tottenham Hotspur Stadium, au terme d'une finale riche en rebondissements. Un choc qui restera dans les annales et dans les mémoires.

RUGBY. Champions Cup. CHOC Six étoiles ! Toulouse remporte une finale héroïque face au LeinsterRUGBY. Champions Cup. CHOC Six étoiles ! Toulouse remporte une finale héroïque face au LeinsterDès le début de la rencontre, les Toulousains ont affiché leurs intentions. Après une minute de jeu seulement, les hommes de Mola ont failli ouvrir le score. Mais l'arrière écossais Blair Kinghorn a pris le relais en inscrivant les trois premiers points sur une pénalité de 50 mètres. Les Toulousains ont ensuite conforté leur avance grâce à une autre pénalité de Kinghorn, portant le score à 6-0.

Malgré l'avantage initial des Toulousains, le Leinster n'a pas tardé à réagir. Après dix minutes de jeu, Ross Byrne a réduit l'écart avec une pénalité. Un coup dur est survenu pour Toulouse à la 23e minute avec la blessure de Pita Ahki, remplacé par Santiago Chocobares. Malgré cela, Kinghorn a continué de marquer, portant le score à 9-3. Juste avant la pause, Byrne a ramené le Leinster à trois points.

La seconde période a été tout aussi disputée. Les deux équipes ont fait preuve d'une intensité incroyable. À la 47e minute, Byrne a égalisé à 9-9. Kinghorn a redonné l'avantage à Toulouse à la 57e minute, mais Byrne a une nouvelle fois égalisé à la 66e. Matthis Lebel a manqué de peu un essai spectaculaire à la 68e minute. Cependant, Thomas Ramos a permis à Toulouse de reprendre l'avantage à la 71e minute.

Suffocante, ''GOATESQUE'', cette finale légendaire entre Toulouse et le Leinster a délecté les supportersSuffocante, ''GOATESQUE'', cette finale légendaire entre Toulouse et le Leinster a délecté les supportersLe suspense était à son comble lorsque le Leinster a égalisé à 15-15 à deux minutes de la fin. Les deux équipes ont été contraintes de jouer les prolongations. Dès l'entame, les Irlandais se sont retrouvés à 14 après un carton jaune de James Lowe. Une biscotte que certains ont trouvé sévère. Toulouse a profité de cette supériorité numérique avec un essai de Lebel et une pénalité de Ramos, portant le score à 25-15.

D'aucuns ont alors pensé que le match était plié. Un carton rouge pour Richie Arnold a redonné espoir au Leinster, qui est revenu à 22-25 grâce à un essai de Josh van der Flier. Malgré cela, Thomas Ramos a su sceller la victoire avec deux pénalités supplémentaires, fixant le score final à 31-22. 

Les 61.531 spectateurs présents ont été témoins d'une finale époustouflante où le Stade Toulousain a démontré une fois de plus sa suprématie en Europe. Retrouvez le résumé vidéo de cette finale dantesque et revivez les moments forts de cette rencontre historique.

Amis à Laporte
Amis à Laporte
With the French teams, the Leinster is born Toulouse?
RCToulousain
RCToulousain
Alors oui, merveilleuse finale! Mais je voulais me tourner sur un angle que je n'ai pas trop vu en commentaire: l'arbitrage. Je l'ai trouvé franchement bon, cohérent et consistent. Il a su prendre ses responsabilités. Dans un match aussi serré que celui là je n'ai pas l'impression qu'il y ait de polémique, ce qui est assez rare pour le signaler. Peut être que l'on voit les choses différemment du côté du Leinster... Est-ce que je suis biaisé ?
guedin81
guedin81
Quand j'ai vu les fautes de mains des irlandais au débur , j'ai pensé que l'UBB avait refiler la colle qu'ils avaient utilisée la semaine dernière contre le SF. D'ailleurs je me demande si sur ce match ils avaient pas intervertis la colle et le savon. Mais bon...j'étais pas avec eux sous la douche. 😊
guedin81
guedin81
Aors Graouest rentré mais je n'ai pas compris la redistribution des postes... Et est-ce qu'il a touché un ballon ? Sinon une victoire aussi belle que le scénario. Pas un grand match, mais normal c'est une finale. Bravo à tous les joueurs qu'ils eussent été présent ou non. Très grand club ! Je pense que tous les joueurs de ce matchs vont aller au frigo jusqu'à la demi finale : des crampes dès la soixantième...des fois faut peut être sortir le ballon pour souffler ou alors c'est stratégique pour fatiguer l'adversaire, ais faut pouvoir l'assumer et tenir.
Jacques-Tati-en-EDF
Jacques-Tati-en-EDF
Alors là, laissez moi parler ... Le ST nous avait habitué à gagner avec un certain brio, du jeu léché et debout. Là, ils ont gagné ce match en mettant les mains dans le cambouis, en portant des gravas sur leur dos jusqu'à passer le col et en terrassant le serpent qui commençait à les étoufter, avec leur dents quitte à en perdre une ou deux. Laissez moi parler !! Mes impressions, je vous les donne en vrac, en touffes ... Doudou a souffert, je lui en ai voulu sur sa dernière mêlée où il doit sortir, là où le ST se fait empporter sur mêlée. Merkler, malgré qu'il soit diplômé de Sciences Po a fait pire. Je n'en croyais pas mes yeux. j'avais dit à ma femme que ça allait aller mieux. Mais ça a été pire. Mais on s'en est sorti. Je ne lui en veux pas. Les talons ont été comme d'hab, physiques lorsqu'il a fallu sortir les casques à pointe. Baille n'a pas joué comme un centre, mais il a creusé et a porté les gravas en haut de la montagne avec les autres. Méafou c'est un roc, un pic, un cap, avec la grâce et la fausse lenteur d'un éléphant. Flament a su rester dans les cuisines, précieux en touche et homme toujours là lorsqu'il n'y a plus d'eau pour passer sa gourde aux copains. Arnold , bon, c'était prévisible.Il est trop grand.Rouge c'est rouge. Roumat a été grandiose... Lui le chevalier de l'attaque, le joueur de rupture, a su se placer toujours bien en défense, plaquer toujours au bon moment l'air de rien, et rattraper les coups à plusieurs reprises. Sa capacité à se déplacer en défense a été énorme. Laissez moi parler ... Cros, homme de l'ombre. Il faut avoir des yeux de hiboux pour le voir. Le cambouis, c'est lui qui l'apporte. Certain prétendent qu'il dort dans un mine et qu'il se nourrit de charbon ! Quand à Willis, je vais la faire en englishe: "... He flyes like a butterfly and sting like a bee ! He was magic like Lucy In The Sky with diamond " ... Let me tell you ... Dupont, Dupont, Dupont Dupont ... Concentré d'énergie. Il faudrait le connecter au réseau pour que la France n'ait plus de pannes d'électricité ou de gaz. C'est l'ensemble des énergies mises ensembles, un trou-noir qui engloutit tout ce qui passe près de lui... RNTM, reste toujours classe et sobre. La gestion ça le connait. Là aussi on ne l'a pas vu flamboyant mais sa défense sur les taureaux irlandais était encore plus murale que Fort Knox. De l'or en barre. Laissez, laissez moi parler ... Le petit Costes... C'est un attrape-nigauds, un fléau qu'on lance dans les jambes pour faire tomber, presque invisible, il se place alors à coté de vous, vous sourit puis vous prend les jambes et vous vous vautrez sans pouvoir faire de passe et sans comprendre ce qui vous arrive... Akhi, le malheureux. L'homme à qui on pardonne tout. Même la frayeur de son absence. Chocobarres, l'heureux. L'homme qui nous rassure quand à grand coups d'épaules il vous tord les 8, les 4, les 3 ... Et qui d'une action de grande classe digne de Cordorniou ou de Boniface, celui que vous voulez, ( course un peu en travers dans l'intervalle, puis redresse sa course et, en pleine vitesse, sert Lebel pour un essai qui n'existe plus depuis 1962, période du grand Lourdes) vous redonne un peu d'air comme un conduit de mine d'or. Laissez moi parler ... Lebel, qui porte bien son nom. Philippe le roi de fer, qui porte en lui le Graal perdu et qui le sort au bon moment au bon endroit. Tout près de Kinghorn, rival et ami, grand, haut, fort, rapide, tordu mais pas cassé. Ramos le revanchard, dont les yeux dirigent le jeu du banc alors que personne ne s'en rend compte. Orbites saillants, pied droit droit. Pied gauche pas gauche. La bouche fermée, dans la mine, dans la mine personne ne vous entend.... Laissez moi parler ... Et puis Neti le paisible, Marchand l'ours qui vu l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'homme. Indéboulonnable. Graou, le neveu de son oncle, discret et timide, qui joue là où on lui dit de jouer sans broncher. Qui assure toujours avec le sourire. Brennan le fils de son père, celui qui assure toujours et qui donnerait son bras pour les autres. Laissez moi en placer une ... Et puis Mola, le flegmatique. Mais comment fait-il pour rester aussi calme ? Plus calme que Cullen dont les gouttes ont perlé sous la casquette, c'est dire... Et puis les autres... Dorénavant, je m'habillerai toujours en jogging, basket, T-shirt et casquette ...
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