Accusé d'avoir dépassé le plafond financier fixé, le MHR a reçu la visite d'un manager de la DNACG, mandatée par la LNR. Sauf que le président montpelliérain n'a pas apprécié, ni la fond, ni la forme. En effet, il dénonce dans le Journal du Dimanche, un contrôle "inacceptable, donnant l'impression que tout était déjà décidé". De plus, il a tenu à souligner que son club a toujours été dans les règles en matière de salaire fixées par la LNR, et s'insurge contre le comportement de la personne mandatée par cette dernière, estimant même qu'elle fut agressive à son égard.
Mohed Altrad indique de plus que cette personne a "effectué une réévaluation de salaires totalement arbitraire et fausse", et qu'elle a rédigé un "rapport totalement à charge". Ce document a ensuite été, selon lui, présenté lors d'une réunion du bureau de la LNR à laquelle il n'était pas convié.
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N'ayant pu se défendre lui-même, le président du club héraultais estime que "ces procédés sont inacceptables" et même qu'ils sont dignes de l'amateurisme. Il profite également de cela pour exprimer le fond de sa pensée sur le fonctionnement de la LNR.
La LNR refuse d'admettre que le modèle économique mérite d'être redéfini pour améliorer sa rentabilité.
Déjà impliqué et inquiété dans l'affaire Laporte, nul doute que les relations entre Mohed Altrad et la LNR ne risquent pas de s'améliorer tout de suite...
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