La pilule semble avoir du mal à passer pour Pierre Berbizier. Dans une interview accordée au Parisien, le manager du Racing dénonce les conditions du départ de Sébastien Chabal, et « l’hypocrisie » de ce dernier. Alors que le rugbyman le plus célèbre de France évoquait « un long supplice », le mentor des Racingmen évoque la prolongation du contrat qui était en cours de négociation jusqu’au clash. « Comment il était prêt à le vivre deux ans de plus ? » s’interroge encore Berbize.
Vint ensuite l’épineux problème du vestiaire des Franciliens. On prête aux cadres de celui-ci, des dissensions avec Pierre Berbizier, notamment suite au départ de Simon Mannix. L’ancien sélectionneur du XV de France, pas dupe, reconnaît que certains peuvent être en désaccord, mais il dénonce surtout leur appartenance « à la même écurie de course », comprenez le même agent.
Devant la complexité de la situation au Racing, PB semble bien isolé face aux « stars » franciliennes, et ce malgré l’attitude du président Lorenzetti qui a de nouveau affirmé sa confiance en son entraineur. Et le manager justement, de conclure sur la duplicité des discours, « à l’intérieur et à l’extérieur » des vestiaires. Des paroles qui, selon lui, « privilégient généralement l’intérêt personnel » lorsqu’elles s’adressent aux médias. « Le vestiaire a été vendu » constitue la phrase choc de cet entretien au Parisien, mais le prix d’un vestiaire est-il seulement estimable ? Le Racing-Métro va devoir très vite éclaircir la chose sur le terrain, sans Chabal !
Vint ensuite l’épineux problème du vestiaire des Franciliens. On prête aux cadres de celui-ci, des dissensions avec Pierre Berbizier, notamment suite au départ de Simon Mannix. L’ancien sélectionneur du XV de France, pas dupe, reconnaît que certains peuvent être en désaccord, mais il dénonce surtout leur appartenance « à la même écurie de course », comprenez le même agent.
Devant la complexité de la situation au Racing, PB semble bien isolé face aux « stars » franciliennes, et ce malgré l’attitude du président Lorenzetti qui a de nouveau affirmé sa confiance en son entraineur. Et le manager justement, de conclure sur la duplicité des discours, « à l’intérieur et à l’extérieur » des vestiaires. Des paroles qui, selon lui, « privilégient généralement l’intérêt personnel » lorsqu’elles s’adressent aux médias. « Le vestiaire a été vendu » constitue la phrase choc de cet entretien au Parisien, mais le prix d’un vestiaire est-il seulement estimable ? Le Racing-Métro va devoir très vite éclaircir la chose sur le terrain, sans Chabal !