La Catalanité, ça existe, et ça existera probablement toujours. Et Grégory Le Corvec l’a, et l’aura toujours. Ca n’empêchera pas le troisième ligne de l’USAP de raccrocher les crampons à la fin de la saison, c’est en tous cas ce qu’il a déclaré à l’Indépendant. « Pour moi, c’est fini, j’arrête en fin de saison » s’est fendu celui qui a passé pas moins de 11 années sous les couleurs Sang et Or. Après Alvarez-Kairelis, Freshwater et Olibeau, c’est donc un nouveau monument catalan qui tire sa révérence.
Avec en point d’orgue le titre acquis aux dépens des Clermontois en 2009, la carrière de Grégory Le Corvec a été bien remplie, et ce dernier le sait : « Ce groupe a vécu tellement de grandes choses […] Je sais quel joueur je suis. Je ne suis pas le meilleur, mais certainement pas le moins bon. Depuis que je suis ici, j’ai rivalisé avec n’importe qui. » Une déclaration qui a le mérite d’être claire, avec un franc-parler qu'on ne saurait que louer. Avec tous ces départs annoncés, c’est indéniable, une page se tourne du côté de l’USAP.
Avec en point d’orgue le titre acquis aux dépens des Clermontois en 2009, la carrière de Grégory Le Corvec a été bien remplie, et ce dernier le sait : « Ce groupe a vécu tellement de grandes choses […] Je sais quel joueur je suis. Je ne suis pas le meilleur, mais certainement pas le moins bon. Depuis que je suis ici, j’ai rivalisé avec n’importe qui. » Une déclaration qui a le mérite d’être claire, avec un franc-parler qu'on ne saurait que louer. Avec tous ces départs annoncés, c’est indéniable, une page se tourne du côté de l’USAP.