De la fraicheur, surtout de la fraicheur. Voilà ce qui justifie ces quatre changements dans le pack français, sans qu’aucun remplacement n’ait été effectué dans la ligne de trois-quarts. Exit Servat, Debaty, Nallet et Bonnaire, bonjour Szarzewski, Poux, Maestri et Harinordoquy. Quand on dit « exit », le mot est un peu fort, puisque PSA a tenu à préciser que « l’on ne jouera pas à 15, mais à 22 » contre les Irlandais. Des Irlandais qui, malgré la défaite concédée à l’Aviva Stadium (21-23), ont « impressionné par l’intensité pendant 80 minutes » le sélectionneur français.
Pour PSA, qui s’est présenté sans Jo Maso à la conférence de presse, les clés du match sont multiples mais bien définies. « On jouera en l’air, et c’est donc normal qu’Imanol rentre. […] Ils ont une grosse capacité d’adaptation, sont très bons sur la conquête et tout ce qui est contestation » analyse le mentor des Bleus. Et quand bien même la tentation d’aligner Julien Bonnaire et Imanol Harinordoquy, la prestation de Louis Picamoles face aux Italiens a tout simplement balayé les incertitudes.
Yoan Maestri fêtera sa première titularisation avec le maillot frappé du coq de sa carrière. Un joueur sur lequel Saint-André n’a pas tari d’éloges : « Yoan Maestri a progressé sur sa discipline, sa défense. Il fait 2,02 mètres, 120 kilos, il a tout pour être un grand seconde ligne, et il va jouer contre ce qu’il se fait de mieux au monde. » Voilà pour les nouveautés. PSA a également tenu à souligner la continuité de la ligne d’attaque française, en évoquant notamment « la culture du centre du terrain » des Irlandais, malgré l’absence de Brian O’Driscoll. Du coup, la complémentarité des Clermontois Fofana et Rougerie, ainsi que leurs bonnes prestations ont maintenu cette stabilité.
Le XV de départ :
Médard Clerc, Rougerie, Fofana, Malzieu Trinh-Duc, Yachvili Dusautoir (cap.), Picamoles, Harinordoquy Papé, Maestri Mas, Szarzewski, Poux
Les remplaçants : Servat, Debaty, Nallet, Bonnaire, Parra, Beauxis, Mermoz, Attoub (23ème homme).
Pour PSA, qui s’est présenté sans Jo Maso à la conférence de presse, les clés du match sont multiples mais bien définies. « On jouera en l’air, et c’est donc normal qu’Imanol rentre. […] Ils ont une grosse capacité d’adaptation, sont très bons sur la conquête et tout ce qui est contestation » analyse le mentor des Bleus. Et quand bien même la tentation d’aligner Julien Bonnaire et Imanol Harinordoquy, la prestation de Louis Picamoles face aux Italiens a tout simplement balayé les incertitudes.
Yoan Maestri fêtera sa première titularisation avec le maillot frappé du coq de sa carrière. Un joueur sur lequel Saint-André n’a pas tari d’éloges : « Yoan Maestri a progressé sur sa discipline, sa défense. Il fait 2,02 mètres, 120 kilos, il a tout pour être un grand seconde ligne, et il va jouer contre ce qu’il se fait de mieux au monde. » Voilà pour les nouveautés. PSA a également tenu à souligner la continuité de la ligne d’attaque française, en évoquant notamment « la culture du centre du terrain » des Irlandais, malgré l’absence de Brian O’Driscoll. Du coup, la complémentarité des Clermontois Fofana et Rougerie, ainsi que leurs bonnes prestations ont maintenu cette stabilité.
Le XV de départ :
Médard Clerc, Rougerie, Fofana, Malzieu Trinh-Duc, Yachvili Dusautoir (cap.), Picamoles, Harinordoquy Papé, Maestri Mas, Szarzewski, Poux
Les remplaçants : Servat, Debaty, Nallet, Bonnaire, Parra, Beauxis, Mermoz, Attoub (23ème homme).