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FAITS DIVERS. Le pilier de Biarritz Zakaria El Fakir accusé de violences conjugales

Ce mercredi, nous apprenions que le pilier de Biarritz Zakaria El Fakir ferait l'objet d'une plainte pour violences conjugales. Ce dernier a même vu sa garde à vue prolongée ce jeudi.

Alexis Brochot 20/07/2023 à 11h00
Zakaria El Fakir fait l'objet d'une plainte pour violences conjugales. Crédit photo : Screenshot Youtube
Zakaria El Fakir fait l'objet d'une plainte pour violences conjugales. Crédit photo : Screenshot Youtube

Ce mercredi, le journal Sud-Ouest nous apprenait que le pilier de Biarritz, Zakaria El Fakir (26 ans) ferait l'objet d'une plainte pour violences conjugales, déposée par sa femme. Convoqué à la gendarmerie de Saint-Palais (Pyrénées-Atlantiques), le joueur passé par Béziers, Bordeaux et Agen aurait ensuite été placé en garde à vue. Une information confirmée par le Parquet de Bayonne, auprès de Rugbyrama. D'ailleurs, cette garde à vue a été prolongée de 24 heures, alors que les familles, ainsi que les proches du couple (en instance de divorce) vont être entendus. Précisons ici que Zakaria El Karir nie les faits.

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dan0x
dan0x
A la lecture de certains commentaires j'ai l'impression que ce joueur a déjà été jugé et qu'il est coupable. Pour l'instant il n'y a qu'une plainte de déposée par sa femme alors que le couple est en instance de divorce. N'oubliez pas la présomption d'innocence et le fait que dans cette affaire, à moins que vous ayez accès au dossier, la justice doit faire son travail.
Samuidesune
Samuidesune
Et voilà c'est toujours les mêmes ! Encore un avant.
jojo7
jojo7
Et de deux ! Encore deux autres et ils pourront jouer à la belote .
Like a Lion in Jau Zion
Like a Lion in Jau Zion
El Fakir est sorti des clous?
Manu
Manu
Je lis ici beaucoup de comparaison avec le(s) délit avéré d'Haouas Mais, contrairement au cas Haouas, les violences présumées n'ont pas été faites devant témoins suivis d'une garde à vue de flagrance. Là, il s'agirait de faits qui seraient survenus depuis des années sans faire l'objet de plaintes (on sait que les personnes dans ces situations n'osent pas le faire le plus souvent et il faut saluer l'effet de bord positif du lynchage "me too" qui a permis de libérer la parole des femmes, selon l'expression couramment admise). De plus, la plaignante -la future ex-épouse de l'accusé- s'exprime alors qu'une procédure de divorce est en cours et on sait que, parfois, dans ce cadre, la fin justifie les moyens. Dans le cas où les accusations seraient retenues par la justice, M. EL FAKIR pourrait faire appel à M. HAOUAS en tant que conseiller juridique car ce dernier semble savoir éviter les sanctions pénitentiaires. N'oublions pas le cas d'un autre pilier qui a également fait l'objet de telles accusations il y a quelques années. Il s'agit de l'ancien pilier droit All-Black, Il avait été accusé de violence contre son épouse entre 2016 et 2018, dont une « forte gifle » qui a entraîné 3 jours d'ITT en décembre 2017. Il lui était aussi reproché des violences psychologiques, appels malveillants, insultes. Il avait été condamné en 2019 à 4 mois de prison avec sursis par le Tribunal Correctionnel de Pau. Le taux de (ex)piliers professionnels violents (ou prétendument violents) à l'égard de leurs épouses semble augmenter en flèche dans le Département des Pyrénées-Atantique
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