News

6 Nations. Irlande : une équipe largement diminuée avant le déplacement à Cardiff

À quelques jours du déplacement en terres galloises, le groupe irlandais se retrouve orphelin de plusieurs éléments, notamment son capitaine Caelan Doris.

Jules Pineau 19/02/2025 à 10h29
Simon Easterby devra faire des choix forts en l'absence de plusieurs cadres. crédit photo : screenshot Virgin Media Sport
Simon Easterby devra faire des choix forts en l'absence de plusieurs cadres. crédit photo : screenshot Virgin Media Sport

Le XV du Trèfle devra faire sans son capitaine. Blessé à un genou lors de la victoire contre l'Écosse (32-18), Caelan Doris ne sera pas du voyage à Cardiff ce samedi pour affronter le pays de Galles lors de la troisième journée du Tournoi des Six Nations. Une absence de poids pour l’Irlande, qui vise un deuxième Grand Chelem consécutif.

Un coup de frein pour l’Irlande ?

Jusqu’ici, l’Irlande déroulait. Deux victoires en deux matchs, dix points au compteur et une confiance au sommet. Mais cette blessure de Doris, véritable moteur du pack irlandais, pourrait légèrement enrayer la machine verte. Le troisième-ligne du Leinster n’est pas seulement un guerrier sur le terrain, c’est aussi un leader naturel, un joueur capable de dynamiser le jeu et d’être un poison en défense. Mention spéciale pour son activité titanesque dans les rucks.

Et ce n’est pas tout. Le talonneur Ronan Kelleher, blessé au cou, manquera également ce déplacement. Déjà privé de Tadhg Furlong et Iain Henderson, le pack irlandais va devoir puiser dans ses ressources pour ne pas perdre en puissance.

Un remplacement à la hauteur ?

Avec la défection de Doris, la question du brassard de capitaine se pose. Andrew Goodman, l’entraîneur adjoint, a évoqué plusieurs options : Peter O'Mahony, Jack Conan, Dan Sheehan, Garry Ringrose ou encore James Ryan. O’Mahony, déjà rompu à l’exercice, semble le choix le plus naturel pour mener l’Irlande à Cardiff.

Le staff irlandais reste néanmoins optimiste. Les blessés pourraient faire leur retour pour le choc tant attendu contre la France, le 8 mars à l’Aviva Stadium. En attendant, les hommes de Simon Easterby devront se serrer les coudes pour aller chercher une troisième victoire consécutive.

Un match à ne pas prendre à la légère

Si le pays de Galles n’est plus l’épouvantail qu’il a été par le passé, un déplacement à Cardiff ne se galvaude pas. Devant leur public, les Gallois n’ont rien à perdre et pourraient bien bousculer une Irlande légèrement affaiblie.

Mais même sans Doris et ses cadres, le XV du Trèfle a les armes pour s’imposer. Reste à voir si la machine verte saura maintenir sa cadence infernale et poursuivre son chemin vers un possible Grand Chelem.

Jacques-Tati-en-EDF
Jacques-Tati-en-EDF
Joueurs au repos plutôt, en vue du match contre la France je dirais ...
pascalbulroland
pascalbulroland
En même temps , ils jouent l'équipe la plus faible du tournoi...ça devrait aller pour eux.
Eirikr121
Eirikr121
Malgré les absences je ne vois pas le pays de Galles battre l'Irlande. Ils sont vraiment trop mauvais en ce moment.
Yonolan
Yonolan
Hors -Sujet 61 Fin de l’épisode judicaire à Mendoza Voilà la justice est passée
Et son verdict est sans appel maintenant : la plaignante a menti sur toute la ligne et il n’y a pas ,matière à faire un procès
Si ce n’est le sien si telle est la volonté des vrais victimes judiciaires : Jegou et Auradou
« Cette décision rappelle que les preuves filmées, les témoignages, les expertises médicales et psychologiques, comme les messages de la plaignante, réfutent purement et simplement ses accusations. La Cour rappelle aussi à quel point cette affaire a causé un grave préjudice aux joueurs, à la fois sur leur vie personnelle et leur développement professionnel, avec des conséquences difficilement réparables. »
Contrairement à ce que certains, y compris ici, ont affirmé le doute n’est plus possible
Alors oui on n’était pas dans cette chambre de l’hôtel Diplomatic de Mendoza dans cette nuit du 6 juillet
Mais ce que l’on peut affirmer avec certitude c’est que rien de ce que raconte la plaignante n’est vrai
Qu’aucune des traces que portaient son corps ne correspondaient à des tentatives d’étranglement ou des morsures
Qu’a sa sortie de l’hôtel elle a téléphoné à son amie pour lui raconter qu’elle avait passé une super soirée et la remercier car c’était elle qui l’avait poussé à sortir ; loin de la personne traumatisée qu’elle revendiquera
Et que dès le premier jour le mécanisme du mensonge s’est mis en place
Et que face à la gravité des accusations et un corps marqué la justice argentine a dû réagir rapidement ; d’autant plus que le départ des joueurs vers l’Uruguay obligeait à lancer un mandat d’arrêt international et à les emprisonner immédiatement
Caisse de résonnance amplifiée par un rapport médical faussé que l’avocate fit fuiter dans la presse 48 heures après
Oui je dis faux
Ce rapport médical ne fut pas fait par les médecins légistes de Mendoza mais par médecin, vague conseiller auprès des tribunaux
Et non pas en examinant ‘’Maria ‘‘ mais sur photos.
Et sans signaler à ce médecin les antécédents médicaux de cette soi-disant victime et plus particulièrement la maladie de Willebrand (au premier degré) qui accentue les ecchymoses
Suffisant pour que nous pensions que la barbarie s’était invitée dans cette chambre
Suffisant pour que nous nous rangions justement tous derrière la cause de cette victime avec ce sentiment de honte et d’incompréhension que le rugby français ait pu engendrer et permettre un tel niveau de barbarie
Nous faisant même presque oublier l’épisode Jaminet et son casque à pointe et plus tard ce cercle d’amis disruptifs : triste défense

Mais voilà dans le mois qui suivi, les investigations de la police et de la justice commencèrent à démonter un à un les éléments de l’accusation
Et depuis le mois de septembre la plaignante, sa famille, ses conseils n’ont eu cessent de multiplier les mesures dilatoires
Sans succès
Y compris pour cet appel ou ils furent incapables d’apporter le moindre fait nouveau
Y compris pour toutes les institutions qu’ils vont continuer à saisir vainement et qui ne peuvent en aucun cas, en plus, influer sur le cours de la justice
Juste continuer à vivre médiatiquement : lamentable y compris pour la cause des femmes

D’ailleurs la façon dont s’est emparé les médias, l’opinion publique de ce fait divers est intéressante
La petite frange de ceux qui se moquent de la vérité et qui continuerons à clouer au pilori les joueurs et face à la lumière crue des preuves revendiquer le doute voire la manipulation
Ceux qui ont voulu profiter de ces faits à des vues politiciennes (et oui on était en période pré-électorales) Bernie en tête qui roulait déjà pour Codor (et l’inverse )
Ceux qui revendiquent plus une cause que le respect de la justice individuelle : l’intelligence de la trompette ?
Ceux qui veulent mettre une dimension morale (et la leur bien sûr) : c’est respectable mais ce n’est en rien le domaine de la justice et en rien applicable aux autres ; sauf dans des sociétés ou beaucoup n’aimeraient pas vivre ; eux les premiers surement et justement
Et l’avocat français de nos joueurs Maitre Vey en guise de conclusion
« Il serait utile que cet épilogue donne lieu à une analyse salutaire entre d'un côté une justice, rendue sur la base de preuves, avec un certain recul, une certaine prudence, et un débat médiatique ou populaire sur les réseaux sociaux qui tourne au lynchage des individus, qui les casse et n'a jamais de fin. Cette affaire, c'est aussi la différence entre ceux qui veulent juger et ceux qui veulent croire. »

Oui plus une cause est capitale plus à mes yeux elle doit être juste pour les individus et ne pas souffrir des mêmes maux qu’elle dénonce
Sinon elle aussi broiera des individus
Derniers commentaires

Connectez pour consulter les derniers commentaires.